Révolutionner l’affichage des montres est une ambition dangereuse : plus d’un horloger de renom s’y est cassé les dents, que ce soit du point de vue technique, esthétique et, en définitive, sur le marché.
Avec l « Infinity Looping », Pierre Kunz prend un risque mesuré : d’apparence surprenante, le cadran n’en est pas moins divisé classiquement en 12 heures parcourues par un repère sur lequel pivote une aiguille indiquant les minutes.
L’indicateur parcourt ainsi une épitrochoïde graduée de 15 minutes en 15 minutes, avec des divisions toutes les 5 minutes.
Mue par un mouvement automatique, la « Infinity Looping » est disponible en acier ou en or, respectivement autour de $20’000 ou de $39’000.
Un zero de trop…